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Doc histoire
Un concert de reggae sur un bateau pirate
🏴☠️ "Un concert de reggae sur un bateau pirate"
Une histoire vraie, folle, et pleine de vibes salées, idéale pour captiver ton audience.
🌊 Quand le reggae embarqua à bord d’un bateau pirate
📍 L’idée folle née des vagues
Nous sommes en 1996, au large des côtes de Saint-Malo, en Bretagne. Un groupe de passionnés de reggae, de musique indépendante et de navigation décide de fusionner deux univers que tout oppose :
La liberté rebelle du reggae roots
Et l’imaginaire déchaîné du piratage maritime
Leur idée ? Organiser un concert flottant, sur un authentique bateau trois-mâts, restauré pour l’occasion, dans une ambiance mêlant roots jamaïcain et folklore pirate. Ce projet complètement hors-norme est baptisé :
🎶 "Reggae Aboard the Black Pearl" (ou "Reggae sur la Perle Noire")
🚢 Le décor : un navire devenu scène
Le navire utilisé est un vieux gréement de 30 mètres, autrefois utilisé pour la pêche à la morue. Il est réaménagé en scène flottante :
Des enceintes marines sont installées sur le pont
Des projecteurs alimentés par groupe électrogène
Une cabine DJ dans la vigie
Et des filets remplis de rhums, tambours et drapeaux rastas
Le bateau accueille à son bord une centaine de personnes, et des barques-taxis font la navette depuis le port. L’ambiance est électrique avant même le premier son.
🎤 Le concert : reggae au rythme des marées
La nuit tombe, les premières basses résonnent, et c’est le groupe français Pierpoljak qui ouvre la soirée avec des riddims lourds et des textes engagés. Peu après, un invité surprise monte à bord : Earl 16, vétéran jamaïcain du reggae UK, interprète des titres comme "Freedom", tandis que les vagues frappent la coque.
La mer se mêle à la musique :
🌬️ Le vent porte les échos du dub au large
🔥 Les torches éclairent les dreadlocks dansantes
🌕 La pleine lune se reflète sur les instruments
Le public, moitié marins, moitié rastas, danse jusqu’à l’aube sur un bateau bercé par les marées.
⚓ Un événement devenu mythe
L’événement ne sera jamais répété — trop complexe, trop risqué, trop fou. Mais pour ceux qui y étaient, c’était le concert d’une vie :
Une célébration de la liberté musicale
Une immersion dans l’âme du reggae
Et un hommage à l’esprit pirate, libre et insoumis
🗣️ "C’était comme si Peter Tosh croisait Jack Sparrow sur une mer de basses profondes."
— Un spectateur anonyme
Une histoire vraie, folle, et pleine de vibes salées, idéale pour captiver ton audience.
🌊 Quand le reggae embarqua à bord d’un bateau pirate
📍 L’idée folle née des vagues
Nous sommes en 1996, au large des côtes de Saint-Malo, en Bretagne. Un groupe de passionnés de reggae, de musique indépendante et de navigation décide de fusionner deux univers que tout oppose :
La liberté rebelle du reggae roots
Et l’imaginaire déchaîné du piratage maritime
Leur idée ? Organiser un concert flottant, sur un authentique bateau trois-mâts, restauré pour l’occasion, dans une ambiance mêlant roots jamaïcain et folklore pirate. Ce projet complètement hors-norme est baptisé :
🎶 "Reggae Aboard the Black Pearl" (ou "Reggae sur la Perle Noire")
🚢 Le décor : un navire devenu scène
Le navire utilisé est un vieux gréement de 30 mètres, autrefois utilisé pour la pêche à la morue. Il est réaménagé en scène flottante :
Des enceintes marines sont installées sur le pont
Des projecteurs alimentés par groupe électrogène
Une cabine DJ dans la vigie
Et des filets remplis de rhums, tambours et drapeaux rastas
Le bateau accueille à son bord une centaine de personnes, et des barques-taxis font la navette depuis le port. L’ambiance est électrique avant même le premier son.
🎤 Le concert : reggae au rythme des marées
La nuit tombe, les premières basses résonnent, et c’est le groupe français Pierpoljak qui ouvre la soirée avec des riddims lourds et des textes engagés. Peu après, un invité surprise monte à bord : Earl 16, vétéran jamaïcain du reggae UK, interprète des titres comme "Freedom", tandis que les vagues frappent la coque.
La mer se mêle à la musique :
🌬️ Le vent porte les échos du dub au large
🔥 Les torches éclairent les dreadlocks dansantes
🌕 La pleine lune se reflète sur les instruments
Le public, moitié marins, moitié rastas, danse jusqu’à l’aube sur un bateau bercé par les marées.
⚓ Un événement devenu mythe
L’événement ne sera jamais répété — trop complexe, trop risqué, trop fou. Mais pour ceux qui y étaient, c’était le concert d’une vie :
Une célébration de la liberté musicale
Une immersion dans l’âme du reggae
Et un hommage à l’esprit pirate, libre et insoumis
🗣️ "C’était comme si Peter Tosh croisait Jack Sparrow sur une mer de basses profondes."
— Un spectateur anonyme
Par : admin
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